Ouiquinde de l'Ascension, parte toue
Donc sur le coup de onze plombes, c'est en larmes que nous quittons Kiki et Mr Kiki. En un gros coup de pédale, on se retrouve à Valence, chez l'neveu Seb, tu sais le P'tit qu'est plus grand qu'le Grand parce qu'l'le Grand est plus p'tit qu'le P'tit.Tas pigé ou je r'commence ? Il nous a préparé des brochettes histoire de se mettre en jambe.
Et l'après-midi, Seb décida d'aller voler. Non pas des poules comme un manouche, mais plutôt comme un tichodrome, de ce petit passereau gris et rouge qui vit en montage.
Mais ça c'est l'nom d'son club de parapente. Donc on s'embarque à bord du véhicule de transport et on se dirige vers, le Vercors. Eh oui ! De nouveau. Mais cette fois de l'autre côté. Au col du Trallu. Cherche !
Et là, après une heure d'attente, pour cause de vent un peu fort, le parapenteur enfin s'arnache.
Sortir l'barda du sac
Paré au départ, alors suit le lien ci-dessous
Tonton et Tata attendront à l'attéro
Le lendemain après-midi, on s'en va au bord du Rhône. On mate un moment les embarcations.
Puis on passe vrs le barrage et l'usine hydro-électrique de la Roche de Glun
On fait une petite virée dans la montagne et les forêts d'accacias blancs. Ça monte et ça descend, ça tourne et ça détourne. Finalement on s'arrête à Saint Peray pour s'en jeter un derrière le gosier.
A l'ombre des platanes...
...des palmiers...
...ou sous la toile.
Le soir, on s'en va au coeur de la Ville de Valence manger dans un p'tit resto. Le seul couac, c'est que la raison sociale a changé dernièrement mais le numéro de téléphone est le même. C'était bien bon.
Le lendemain à treize heures, on reprend la route. Très peu de circulation jusqu'à Genève. Nous sommes en avance sur le bouchon prévu. Il fait entre 31 et 33°, la clim n'est pas superflue. Dès la frontière, la circulation s'intensifie. Faut dire que les autoroutes ne sont qu'à deux voies et depuis 40 à 50 ans aucun travaux, mis à part ceux d'entretien , non été effectués.
Par 35°, on arrive dans nos pénates après quatre plombes de route. Malgré un arrosage par les voisines, le jardin a le gosier sec et on y remédie une fois le soleil couché.
Du plaisir rien que du plaisir !